Avocats des accidents de bicyclette_.

Les accidents impliquant des cyclistes et des véhicules peuvent entraîner des blessures graves

Une bicyclette est un moyen de transport sain, abordable et économique en énergie qui est devenu populaire au cours des dernières années. En rattrapant cette popularité, la circulation des bicyclettes a augmenté et les voies cyclables se sont multipliées dans les petites villes et les grandes villes du Canada. Malheureusement, les cyclistes sont relativement peu protégés lorsqu’ils se déplacent à proximité de véhicules à moteur, même lorsqu’ils portent un équipement de protection comme un casque, des garde-boue ou des genouillères et coudières. Lorsqu’une collision entre un véhicule à moteur et un cycliste se produit, le résultat peut être catastrophique pour le cycliste.

Causes courantes des accidents de vélo

• Ignorance du code de la route
• Porte de voiture
• Mauvaises conditions routières, telles que des ornières ou des nids-de-poule
• Omission de s’arrêter à un panneau d’arrêt
• Conducteurs distraits ou inattentifs
• Automobilistes dépassant des cyclistes sur une crête aveugle

Blessures courantes chez les cyclistes

• Éruption routière
• Dents cassées
• Blessures au visage, telles que des lésions aux yeux, au nez et à la mâchoire
• Lésions cérébrales traumatiques
• Os fracturés
• Blessures des tissus mous
• Blessures au cou et au dos
• Blessures psychologiques, telles que le SSPT et l’anxiété
• Décès

Après un accident, il est courant que les gens ressentent un choc et ne ressentent pas de douleur immédiatement. Certaines blessures peuvent ne se présenter que des jours ou des semaines plus tard. Le suivi avec un professionnel de la santé est essentiel pour s’assurer que les blessures sont diagnostiquées et traitées correctement.

Que doit faire un cycliste après avoir été heurté par une voiture ?

Après avoir été heurté par une voiture, un camion, un bus ou un autre véhicule à moteur, un cycliste peut subir des blessures aiguës graves ou un choc. Dans cet état, il peut être difficile, voire impossible, de recueillir des informations.

Dans la mesure du possible, un cycliste qui a été heurté par un conducteur doit recueillir autant d’informations que possible sur l’accident. Cela comprend le nom, les coordonnées et les détails de la police d’assurance du conducteur, ainsi que la marque et le modèle du véhicule impliqué. Lorsqu’un témoin est impliqué, le témoin doit fournir son nom et ses coordonnées à la police afin qu’il puisse être rejoint si nécessaire. Des photos de l’emplacement, du véhicule, de la bicyclette et des blessures peuvent être utiles pour déterminer la responsabilité de l’accident. Les instants qui suivent un accident sont essentiels pour établir un registre de ce qui s’est passé et garder une trace des parties impliquées en cas d’action en justice.

Lorsqu’un conducteur impliqué dans un accident avec un cycliste n’est pas assuré ou prend la fuite (délit de fuite), le cycliste a toujours recours pour demander une indemnisation.

Après avoir consulté un médecin, le cycliste blessé doit consulter un avocat expérimenté dans le traitement des réclamations pour accident de bicyclette. Il est important de respecter certaines limites de temps. Selon les lois des provinces atlantiques, une personne doit intenter une action en justice dans les deux ans après qu’un accident s’est produit. C’est ce qu’on appelle un délai de prescription. Pour un accident de bicyclette typique, cette période est de 2 ans, cependant, certains facteurs peuvent modifier le délai.

Que doit prouver un cycliste blessé dans un accident de voiture ?

En règle générale, lorsqu’une partie lésée en poursuit une autre pour des dommages-intérêts, il incombe à la partie lésée de prouver que l’autre partie était responsable de l’accident et des blessures qui en ont résulté. En d’autres termes, la loi impose au blessé le fardeau à démontrer qu’il était « plus probable qu’improbable » que l’autre partie était responsable de ses blessures.

Les bicyclettes n’étant pas des véhicules à moteur, les cyclistes sont traités de la même manière que les piétons par la législation applicable. Dans certaines provinces, le fardeau de la preuve incombe au cycliste blessé à prouver que l’autre partie a causé ses blessures, comme dans la plupart des réclamations pour blessures corporelles. Cependant, dans d’autres provinces, comme la Nouvelle-Écosse, l’Île-du-Prince-Édouard et l’Ontario, il y a un renversement de ce fardeau, et le conducteur est responsable de prouver qu’il n’est pas responsable de l’accident. Lorsque cette « inversion du fardeau de la preuve » s’applique, le cycliste n’a qu’à prouver que l’accident s’est produit et a causé ses blessures.

Quelles prestations d’assurance sont offertes pour les cyclistes blessés dans un accident ?

Les cyclistes ne sont pas tenus d’être assurés pour faire de la bicyclette. Par conséquent, ils sont en grande partie traités par la loi de la même manière qu’un piéton. En règle générale, lorsqu’un conducteur est reconnu totalement ou partiellement responsable de l’accident, la police d’assurance du conducteur indemnisera le cycliste pour ses blessures. Cependant, lorsqu’un cycliste est garanti par une police d’assurance automobile, sa propre police interviendra pour la partie des avantages sans faute de sa réclamation.

Au Canada atlantique, les prestations sans égard à la faute sont garanties sous votre police d’assurance, sous la partie du chapitre B.

La loi

Tout comme les automobilistes, les cyclistes doivent respecter les obligations prévues par la législation pertinente de la province dans laquelle ils circulent. Comme les cyclistes n’ont pas à suivre de cours ou à passer un test avant de prendre la route, il appartient aux cyclistes d’adopter des pratiques sécuritaires et de s’assurer qu’ils connaissent le code de la route. Les conducteurs doivent également prendre soin d’apprendre les règles de la route en ce qui concerne les cyclistes.

Nous représentons les cyclistes blessés dans des accidents

MacGillivray Droit aide les cyclistes victimes d’accidents à obtenir les prestations dont ils ont besoin. Si vous avez été blessé dans un accident, n’hésitez pas à communiquer avec nous. Nous luttons pour les droits des blessés depuis 30 ans.